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Sujets - davihoff

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Sur son blog officiel, l'équipe d'Outlook annonce quelques nouveautés en cours de déploiement sur Outlook.com permettant d'optimiser la gestion des messages.

Selon Microsoft, l'utilisateur moyen d'Outlook.com recevra cette année plus de 10 000 emails dont 80% seront des lettres d'informations, des offres ou des mises à jour communautaires qui viendront s'empiler dans la boite de réception. Outlook.com se caractérise par la fonctionnalité Sweep, laquelle serait utilisée 7,5 millions de fois par semaine. Celle-ci permet de trier certains emails puis d'automatiser cette règle à l'avenir. Microsoft explique que l'interface de Sweep sera simplifiée.

En plus des dossiers, Outlook.com propose des catégories, c'est-à-dire l"équivalent des libellés de Gmail. Après avoir sélectionné quelques messages, l'internaute sera en mesure d'établir une nouvelle règle afin de placer tous les prochains emails de cet expéditeur dans une catégorie spécifique.

Microsoft ajoute avoir mis à jour le moteur de recherche. Les résultats englobent l'ensemble des messages qu'ils se trouvent dans un dossier ou/et une catégorie. En partant du principe que la plupart des recherches portent sur un contact spécifique, Microsoft retournera l'ensemble des messages de ce dernier, qu'elle que soit l'adresse email utilisée. A l'instar de Yahoo! Mail il sera en outre possible d'appliquer des filtres à la volée, par exemple pour restreindre les résultats aux emails contenant des pièces jointes.

Enfin, Microsoft explique que les actions rapides réalisées en survolant un email pourront être personnalisées et il sera possible de naviguer dans la boite de réception via le clavier avec de nouveaux raccourcis.

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Une nouvelle rumeur fait état de l'arrivée d'une alternative à la plateforme de lecture Flipboard, qui serait développée et proposée par Facebook. Ce nouveau service pourrait être proposé dès le mois de janvier.

Les vidéos violentes sur Facebook décriées
L'application Flipboard a su se forger une réputation et une base d'utilisateurs fidèles, en optant pour un affichage de type « journal numérique » pour du contenu de médias récupérés par les réseaux sociaux et les flux RSS. Une proposition que Facebook souhaite vraisemblablement décliner à sa manière depuis un bon moment, et il se pourrait que l'arrivée d'un nouveau service soit imminent.

 Selon le site Re/Code, le rĂ©seau social s'apprĂŞte Ă  lancer sa propre application de type Reader. Elle se nommerait pour l'heure Paper - et non plus Reader comme Ă©voquĂ© l'Ă©tĂ© dernier - et pourrait ĂŞtre proposĂ©e soit sous la forme d'une application mobile autonome, soit dans une version Web mobile adaptĂ©e aux smartphones et tablettes, selon une source proche de Facebook.

 Le service devrait combiner l'agrĂ©gation de contenus glanĂ©s sur des sites de mĂ©dias sĂ©lectionnĂ©s par l'utilisateur aux publications sociales de Facebook – statuts, liens partagĂ©s – le tout avec une mise en page « proche du papier ». DĂ©crite ainsi, l'expĂ©rience est clairement proche de celle que propose Flipboard, par ailleurs ouvert Ă  plus de rĂ©seaux sociaux – Twitter en tĂŞte.

 Derrière le projet de Facebook se trouverait une partie de l'Ă©quipe en charge du flux d'actu du rĂ©seau social. Il serait menĂ© par Chris Cox, le vice-prĂ©sident de Facebook chargĂ© des produits, et serait en dĂ©veloppement depuis plusieurs annĂ©es. On peut donc s'attendre Ă  un produit très connectĂ© au rĂ©seau social, ce qui pourrait motiver les utilisateurs de ce dernier Ă  l'ajouter Ă  leurs habitudes. En attendant une Ă©ventuelle annonce d'ici Ă  la fin du mois, Facebook a refusĂ© de commenter « les rumeurs et les spĂ©culations ».

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La version Web de Twitter passe au blanc, de façon à se rapprocher des interfaces proposées sur ses clients officiels iOS ou Android. Ce nouveau design sera progressivement déployé dans les jours à venir.

 Twitter a annoncĂ© lundi soir la mise en place d'un nouveau design au sein de son interface Web. Objectif clairement affichĂ© par le rĂ©seau social : « reflĂ©ter le look and feel des applications iOS et Android ». Sur le plan fonctionnel, le changement n'est pas radical. On conserve le champ, situĂ© en colonne de gauche, permettant de poster directement un message, l'option permettant d'ouvrir une fenĂŞtre de composition restant disponible. Au niveau cosmĂ©tique, la barre de menus abandonne le noir au profit du blanc, reprenant donc les codes en vigueur sur mobile depuis dĂ©jĂ  plusieurs mois. Certains connaissent dĂ©jĂ  ce design, testĂ© ces dernières semaines sur une fraction de la base utilisateurs. Il sera progressivement dĂ©ployĂ© sur l'ensemble des comptes Twitter dans les jours et semaines Ă  venir.

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Facebook est de nouveau en justice et cette fois le géant communautaire est accusé d'avoir manipulé les boutons "j'aime" pour générer de la publicité.

La semaine dernière, Facebook annonçait vouloir mettre fin aux mises à jour sponsorisées publiées sur son site. Pour mémoire, celles-ci visaient à exploiter les activités du bouton "J'aime" d'un internaute afin de les transformer en publicités auprès de ses contacts, notamment lorsqu'il s'agissait de mettre en avant la page d'une société partenaire.

 Avant la clĂ´ture de ce mĂ©canisme, Facebook devra cependant faire face Ă  une nouvelle plainte ou plutĂ´t un recours collectif dĂ©posĂ© par plusieurs avocats pour un utilisateur de Facebook nommĂ© Anthony Ditirro et rĂ©sidant dans l'Ă©tat du Colorado. Ce dernier explique qu'au mois de novembre, Facebook aurait faussement indiquĂ© qu'il aurait « aimĂ© » la page officielle du quotidien USA Today, une activitĂ© qui se serait par la suite traduit en publicitĂ© et prĂ©sentĂ©e Ă  l'un de ses amis.

« Bien que le plaignant n'a rien contre le journal USA Today, il n'est toutefois pas un lecteur du quotidien et ne l'a pas promu », est-il ainsi expliqué dans cette plainte rapportée par nos confrères américains de Cnet US. Le document précise que M.Ditirro n'a aucunement visité la page de Facebook en question et ne s'est pas rendu sur le site officiel de USA Today.

 Le plaignant explique que Facebook a violĂ© plusieurs lois en vigueur en Californie et estime que chaque membre de ce recours collectif devrait recevoir 750 dollars de dommages et intĂ©rĂŞts. De son cĂ´tĂ© le gĂ©ant communautaire affirme que cette plainte est invalide.

 En dĂ©but de mois, Facebook avait Ă©tĂ© accusĂ© de scanner les messages privĂ©s des internautes afin de leur retourner de la publicitĂ© davantage ciblĂ©e.


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Google annonce un changement au sein de son gestionnaire de contacts de Google+ afin de rapprocher ce dernier un peu plus de Gmail.

 En dĂ©cembre 2011, Google expliquait que les contacts du carnet d'adresses de Gmail Ă©taient automatiquement mis Ă  jour en rĂ©cupĂ©rant les informations de ces derniers au sein de leurs profils sur Google+. DĂ©sormais, Google propose d'envoyer un email Ă  l'un de ses contacts sur Google+ via la fonctionnalitĂ© de remplissage automatique de la fenĂŞtre de composition.

Par défaut, l'option est activée. Cela signifie donc que les contacts de Google+ sont, à peu de choses près, placés au même niveau que ceux du carnet d'adresses de Gmail. Au sein de l'onglet Général des paramètres de Gmail, il est toutefois possible de restreindre la fonctionnalité aux Cercles étendus, aux Cercles ou de la désactiver complètement.

Google précise toutefois que l'adresse email d'un internaute ne sera pas visible à l'un de ses contacts sur Google+ avant qu'il ne lui ait envoyé un mail et vice-versa. Reste que par défaut, l'internaute est donc en mesure d'être contacté par n'importe quel utilisateur de Google+ l'ayant ajouté à ses cercles sans réciprocité. Les email des inconnus seront filtrés dans la catégorie Réseaux sociaux avec l'option de bloquer de futurs messages ou d'ajouter la personne à l'un de ces cercles. Les emails provenant d'une personne de ses cercles seront quant à eux placés dans la boite de réception.

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Les actualités sponsorisées ou « sponsored stories » de Facebook seront bientôt de l'histoire ancienne : le réseau social vient d'annoncer que ce format de publicité controversé allait disparaître de sa plateforme.


Les vidéos violentes sur Facebook décriées
Lancées en 2011, les actualités sponsorisées permettaient à Facebook de transformer le « J'aime » d'un utilisateur en publicité : en indiquant aux amis de l'internaute que ce dernier aime telle ou telle page, le réseau social cherchait à réaliser des connexions par affinité, tout en monnayant le processus auprès du propriétaire de la page. Une démarche également réalisée avec les check-in de Facebook Places, mais qui va disparaître totalement à partir du 9 avril.

 C'est dans un billet de blog Ă  destination de ses annonceurs que le rĂ©seau social explique sa dĂ©marche, visant Ă  rĂ©duire son offre de formats publicitaires au cours de l'annĂ©e Ă  venir. Si les actualitĂ©s sponsorisĂ©s ont donnĂ© aux publicitĂ©s une nouvelle dimension sociale sur Facebook, elles n'ont jamais fait l'unanimitĂ© auprès de la communautĂ©, entraĂ®nant mĂŞme des actions en justice : la plateforme a notamment dĂ» payer 20 millions de dollars en 2013, pour dĂ©dommager 615 000 membres amĂ©ricains ayant pris part Ă  une action collective liĂ©e Ă  ce format publicitaire.

 La disparition de ce format n'est cependant pas synonyme de baisse de publicitĂ© sur Facebook : elles devraient toujours ĂŞtre aussi prĂ©sentes en 2014, avec notamment l'arrivĂ©e concrète de la publicitĂ© en vidĂ©o. 


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Quelques mois après le lancement de son nouveau système d'exploitation, Windows 8, Microsoft poursuit le renouvellement de son offre logicielle et propose une nouvelle mouture de sa suite bureautique à succès à destination de nos PC. Succédant à Office 2010, Office 2013 a pour mission première de concrétiser une promesse phare de l'éditeur : le passage au cloud !

Et si Office 2010 s'intégrait déjà dans une certaine mesure aux services dans le nuage de l'éditeur, la firme de Redmond est beaucoup plus ambitieuse avec la mouture 2013 allant jusqu'à revoir son modèle de distribution et sa tarification via le système d'abonnement Office 365.

Au-delà du cloud, Office 2013 apporte un certain nombre de nouveautés non négligeables à commencer par un client mail totalement revu (encore !), il s'agit de l'inénarrable Outlook, ou une interface utilisateur épurée et allégée qui n'est pas sans rappeler certains aspects de Modern UI. Naturellement, les divers logiciels composant la suite poursuivent leur évolution fonctionnelle.

Avec Office 2013, Microsoft inaugure parallèlement aux versions boîte un modèle de distribution déjà esquissé avec Office 365 mais dorénavant totalement assumé et intégré dans la conception même de la suite, un changement loin d'être anodin.

Alors que la suite bureautique de l'éditeur représente une part non négligeable de son chiffre d'affaires, son modèle économique est de plus en plus attaqué par les logiciels libres d'une part, mais également par les services en ligne d'une certaine firme de Mountain View... j'ai nommé Google sans oublier ce qui se passe sur le front de la mobilité où Office est pour le moment absent des environnements Android et iOS. Il était donc temps pour Redmond de réagir.

Jusqu'à présent, la licence Office se destinait à une machine donnée, en clair un PC : c'est le modèle de la licence perpétuelle. On ne pouvait donc installer sa licence Office 2010 que sur un ordinateur à la fois (exception des licences familiales notamment). Avec Office 2013 il est possible d'acheter le logiciel sous forme d'abonnement annuel dans le cadre d'Office 365. La licence d'utilisation concerne alors l'utilisateur et non plus la machine. Utilisateur qui a finalement le droit d'installer la suite bureautique sur plusieurs ordinateurs (5 au maximum) qu'il s'agisse de Mac ou de PC. La gestion de ces droits d'installation passe par une interface Web qui permet de contrôler les PC sur lesquels Office a été installé et de transférer au besoin les licences. Il est donc possible de désactiver une licence (enfin !).

Outre la possibilité de déployer la suite sur plusieurs machines avec un seul abonnement, Office en tant que service a le mérite d'être toujours à jour. Durant la période de validité de votre abonnement, si une nouvelle version majeure d'Office voit le jour, vous en disposez automatiquement et sans surcoût. En revanche, au terme de l'abonnement, si vous ne le renouvelez pas, les applications installées sur vos machines passent en mode « read-only ». Il vous sera toujours possible de consulter des documents et de les imprimer, mais pas de les éditer ou les créer.



 Avec ce nouvel Office, il convient de distinguer Office 2013, la version boĂ®te de la suite avec sa licence perpĂ©tuelle, de l'abonnement Office 365.

Office 365 Famille Premium : Cet abonnement annuel comprend les composants OneNote, Outlook, Word, Excel, PowerPoint, Publisher et Access pouvant être installés sur 5 PC ou Mac d'un même foyer. Microsoft propose en prime 20 Go d'espace de stockage SkyDrive supplémentaire (par défaut un compte SkyDrive gratuit est limité à 7 Go) et 60 minutes de conversation gratuite sur Skype. Problème : avec notre abonnement de test, la taille de notre espace SkyDrive n'a pas bougé d'un pouce après l'activation de notre souscription Office 365.

Office 365 Université : Il s'agit ici d'une offre similaire en tout point à l'abonnement Famille Premium, à un tarif bradé, sauf que les installations sont limitées à 2 PC ou Mac pour une durée de validité de 4 ans.

Office 365 ProPlus : On retrouve ici Word, PowerPoint, Excel, Outlook, OneNote, Access, Publisher, Infopath et Lync. Chaque utilisateur peut installer Office sur un maximum de 5 PC et Mac.

Office 365 Petite Entreprise Premium : On bénéficie ici des applications ProPlus avec l'accès à la messagerie professionnelle, aux documents partagés et à la visioconférence dans une offre hébergée par Microsoft.

Office 365 Entreprise : En plus des applications de ProPlus, Microsoft ajoute Exchange Online, pour la messagerie Ă©lectronique, et SharePoint Online pour le partage et la gestion de documents.

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Aux Etats-Unis, une action collective vient d'être initiée à l'encontre de Facebook. Les plaignants estiment que le réseau social est en mesure de lire les messages privés de ses utilisateurs et de s'en servir notamment pour mieux délivrer des publicités ciblées.

Facebook est à nouveau mêlé à une action en justice au sujet de sa politique en matière de confidentialité. La cour fédérale de Californie a ainsi reçu une plainte en nom collectif visant le réseau social concernant l'usage qui serait fait des messages privés envoyés entre utilisateurs du service.

 Les plaignants considèrent en effet que Facebook intercepte de manière « systĂ©matique » les messages privĂ©s contrairement Ă  ce qu'il affirme dans ses conditions d'utilisation. PrĂ©cisĂ©ment, lorsqu'un internaute envoie un message contenant une URL d'un service tiers, cette dernière est scannĂ©e. Cependant, l'ensemble du contenu serait Ă©galement regardĂ© par le rĂ©seau social, estime la plainte.

 Une fois ce document scannĂ©, Facebook suivrait le lien afin de mieux connaĂ®tre la navigation de l'Ă©metteur du message. Cette fonction permettrait alors au service de « lui permettre de rassembler des donnĂ©es sur les utilisateurs et d'en tirer profit en partageant ses rĂ©sultats avec des parties tierces comme des sociĂ©tĂ©s chargĂ©es de la publicitĂ©, du marketing et d'autres agrĂ©gateurs de donnĂ©es », considèrent les plaignants Matthew Campbell et Michael Hurley.

 ConsidĂ©rant que cette manne d'informations pourrait se revendre très chère puisque les utilisateurs pensent discuter de manière privĂ©e, les auteurs de l'action collective demandent la somme de 100 dollars pour chaque jour de violation avĂ©rĂ©e de la vie privĂ©e ou 10 000 dollars Ă  chaque utilisateur affirmant ĂŞtre Ă©galement affectĂ© par cette pratique prĂŞtĂ©e Ă  Facebook.

 De son cĂ´tĂ©, le rĂ©seau social a rejetĂ© ces attaques auprès de Bloomberg. Un porte-parole du service a ainsi prĂ©cisĂ© que ces prĂ©tentions Ă©taient « sans fondements ». Il prĂ©cise Ă©galement que Facebook se dĂ©fendra en justice face Ă  toute attaque de ce type.

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Facebook a annoncé que son PDG et fondateur Mark Zuckerberg allait vendre 41 millions d’actions pour une valeur totale de 2,3 milliards de dollars, dont 18 millions qu'il redistribuera à des organisations de charité. Quasiment au plus haut historique, le titre Facebook a perdu 0,94% jeudi à la Bourse de New York.

C’est Noël avant l’heure pour Mark Zuckerberg. Le dirigeant et fondateur de Facebook va vendre 41,35 millions d’actions du réseau social, valorisées 2,3 milliards de dollars (1,68 milliard d’euros). A l’issue de l’opération, la participation du jeune milliardaire sera réduite de 1,6%, à 74,5% tandis que ses droits de vote passeront de 58,8 à 56,1%, selon un communiqué de la société californienne. La star de la Silicon Valley a aussitôt déclaré qu'il allait donner 18 millions d'actions Facebook à des organisations caritatives via sa fondation, soit un don proche de 1 milliard de dollars.

Le titre du premier réseau social au monde a reculé de 0,94% jeudi à Wall Street, à 55,05 dollars. Après une introduction en Bourse catastrophique , l’action s’est fortement reprise depuis que le réseau social s’est concentré sur la monétisation de son milliard de membres , notamment à travers les messages sponsorisés et bientôt la publicité vidéo. Des initiatives saluées par les investisseurs et qui ont porté le titre Facebook bien au-dessus de son prix d’introduction (38 dollars par action, le 18 mai 2012), progressant de 130% en seulement 6 mois. Au plus grand bonheur de son premier actionnaire, Mark Zuckerberg, qui est aussi devenu cette année le patron américain le mieux payé.

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L'information pourrait choquer certains utilisateurs de Facebook pour qui la vie privée est sacrée. Selon une étude, il semble que le réseau social enregistre les messages que vous écrivez puis effacez sans les publier.
Plus la peine d'effacer, trop tard

Si vous êtes adepte de Facebook, vous vous êtes sûrement déjà rétracté pour une raison ou une autre, puis avez supprimé un message que vous étiez sur le point de publier.

Et bien, il semble que ce soit trop tard pour se raviser. Ce que vous étiez sur le point de publier est déjà intercepté et enregistré par Facebook.
Atteinte à la vie privée

Bien évidemment, le réseau social, ne fait pas mention de cette pratique dans ses conditions d'utilisation.

Le site Slate.fr qui a relayé l'information, explique que Facebook s'intéresse à ses informations afin de mieux comprendre les messages censurés pour mieux les réduire.

Cette information loin d'arranger son image pourrait faire du tort à Facebook en ces temps où les internautes se soucient davantage de leur vie privée, après la révélation sur l'espionnage de la NSA.


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Un bouton et un menu font leur apparition sur certains comptes Facebook, pour permettre la lecture différée d'articles partagés par ses contacts.

« Saved ». Le menu intégré n'est pas très voyant. C'est qu'il s'agit encore d'un test. Facebook aurait déployé, sur certains appareils, une nouvelle fonctionnalité de lecture différée. Concurrente de Pocket, Readability ou Instapaper, mais aussi du mode « read later » de Safari, elle permettrait de sauvegarder pour une lecture différée des liens partagés sur le réseau social.

Il est aussi fort possible qu'elle ne voit pas le jour de sitôt. Ou pas du tout. Car le blog MyTechSchool, qui a signalé des captures d'écran à AllThingsD, rappelle qu'il y a presque un an, Facebook avait testé une fonctionnalité similaire sur iOS.

Pas de date de disponibilité

On ne saurait donc s'avancer sur une date de sortie éventuelle. Mais le réseau social ne cache pas ses ambitions de jouer un rôle plus grand sur la façon dont ses utilisateurs partagent – c'est fait – et consomment des contenus multimédias en ligne – cela reste à faire en partie.

Les articles, notamment, ont gagné plus d'espace dans la mise à jour du fil d'actualités l'an dernier. Même si, pointe AllThingsD, cette refonte graphique n'a pas encore été distribuée sur tous les comptes, pour une raison inconnue.

Facebook est-il en train de poursuivre son but de proposer « le meilleur journal du monde » ? Cela serait cohérent avec la révélation par le Wall Street Journal d'une fonctionnalité de lecture en cours de développement. Pour l'heure, vous ne verrez peut-être pas le nouveau menu « Saved » et le bouton en forme de marque-page. Facebook n'a pas communiqué sur le nombre d'utilisateurs concernés.


Facebook teste pour la seconde une fois une fonctionnalité permettant de sauvegarder un contenu dans l'optique de le lire plus tard. Certains utilisateurs mobiles y ont actuellement accès.

 Les publications sur Facebook peuvent dĂ©filer Ă  un rythme soutenu, et il n'est pas rare qu'un contenu intĂ©ressant soit difficile Ă  retrouver plusieurs heures après. C'est probablement ce constat qui pousse Facebook Ă  tester, pour la deuxième fois en l'espace d'un an, une fonction qui permet de « sauvegarder » un lien dans l'optique de le retrouver facilement pour y accĂ©der plus tard.


 NommĂ©e « Saved Link », cette fonctionnalitĂ© ajoute une ligne « Saved » dans la version anglaise mobile de Facebook, et cette dernière permet d'accĂ©der aux contenus sauvegardĂ©s. NĂ©anmoins, il ne s'agit pas de proposer les pages hors-lignes : ce sont juste les liens qui sont enregistrĂ©s. En somme, Facebook cherche Ă  proposer un système de marque-pages interne Ă  son service.

Engadget souligne que le réseau social testait déjà une première version de cette fonctionnalité en août 2012, mais que cette nouvelle itération dispose d'une nouvelle présentation. Il se pourrait donc que Facebook soit en train de la peaufiner dans l'optique de la proposer de façon concrète prochainement.

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Microsoft a donc lancé sa nouvelle console next-gen après la PS4 de Sony. Plus chère que le modèle de son concurrent, la Xbox One mise avant tout sur le multimédia.

On y est. Après le lancement la semaine dernière de la PS4 de Sony aux Etats-Unis, c'est au tour de Microsoft de se jeter dans le grand bain avec sa Xbox One. La guerre des consoles de dernière génération est donc bel et bien lancée.

Cette Xbox  One succède donc Ă  la Xbox 360 lancĂ©e en dĂ©cembre 2005 qui a Ă©tĂ© la console la plus vendue aux Etats-Unis. Microsoft entend bien rĂ©itĂ©rer cet exploit et surtout supplanter son concurrent japonais.

Reste que la console de Redmond part avec un léger désavantage : son prix, 499 euros soit 100 euros de plus que la PS4. Microsoft souffre également d'un léger handicap d'image.

"Si l'histoire nous a montré quelque chose, c'est que les joueurs les plus assidus préfèrent en général Sony", estime Brian Blau, directeur de recherche au Gartner. "Mais pour le moment je n'ai rien vu qui permette de dire qu'une console aura l'avantage sur l'autre".

Il faut dire que Microsoft a pas mal d'atouts dans sa manche. D'abord des licences de jeu très fortes et exclusives. Par ailleurs, la machine est livrée avec une manette sans fil, le nouveau capteur Kinect et un micro-casque afin que les joueurs puissent discuter entre eux. On trouve également un câble HDMI qui supportera l’Ultra HD 4k, la full HD 1080p ainsi que la 3D.

Microsoft met également en avant l'intégration de nombreuses briques multimédias (Skype notamment) et de divertissements (films...). La console peut d'ailleurs se présenter comme un boîtier télé interactif se rapprochant des dernières box Internet permettant de passer instantanément des jeux vidéo à internet ou à la télévision..

Les capacités de jeu sont bien là grâce à une architecture technique comprenant un processeur octo-cœur d’AMD, 8 Go de RAM, un disque dur de 500 Go et un lecteur de disques Blu-ray.

La bataille des chiffres peut maintenant commencer. Sony s'est ainsi targué d'avoir vendu plus d'un million de PS4 en 24 heures après sa sortie même si une part minime des acheteurs s'est retrouvée avec une machine en panne...

Du côté de Microsoft et de la France, il semble que la pénurie guette déjà, même pour ceux qui avaient réservé la machine il y a quelques semaines. Pour être sûr d'obtenir le précieux, il valait mieux avoir passé commande l'été dernier.

Et pour ceux qui veulent une Xbox à accrocher au sapin de Noël, il vaut mieux réserver dès maintenant. La question est donc de savoir si Microsoft a joué pour le moment la carte des livraisons minimales afin d'entretenir une certaine forme de pénurie.

Reste que selon Redmond, un million d'exemplaires de sa Xbox One ont été vendues vendredi 22 novembre, jour de son lancement. Un record. "Nous travaillons dur pour fabriquer davantage de consoles", a assuré Yusuf Mehdi, vice-président chargé du marketing de Xbox. "Nous sommes touchés et reconnaissants de l'enthousiasme des fans de Xbox à travers le monde", a-t-il commenté.

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A l'occasion de la mise en ligne de son nouveau rapport de transparence concernant les requêtes gouvernementales, Google met en avant un constat inquiétant : il y a deux fois plus de demandes concernant les internautes qu'il y a 3 ans.


Google rapport transparence
Google a commencé à publier des informations concernant les requêtes des gouvernements du monde entier sur ses services en 2010. Depuis, 8 rapports de transparence ont été publiés, mettant en avant des demandes de suppression de contenu et de renseignements sur les utilisateurs de plus en plus importante. « Depuis que nous avons commencé à partager nos chiffres avec vous en 2010, les requêtes gouvernementales pour obtenir des informations d'utilisateurs ont augmenté de plus de 100% » explique l'entreprise sur son blog.

 Infographie Ă  l'appui, Google met en avant l'Ă©volution des chiffres des requĂŞtes, en soulignant celle des demandes du gouvernement amĂ©ricain : de juillet Ă  dĂ©cembre 2009, sur 12 539 demandes d'informations sur les utilisateurs, 3 580 Ă©taient d'origine amĂ©ricaine. De janvier Ă  juin 2013, sur 25 879 demandes, 10 918 venaient des Etats-Unis, soit presque le triple d'il y a trois ans.

 De façon gĂ©nĂ©rale, les Etats-Unis sont les plus grands demandeurs d'informations : ils dominent le « Top 10 », dans lequel la France est quatrième dernière l'Allemagne, l'Inde et donc les USA. 83% des demandes d'informations dĂ©posĂ©es par le gouvernement amĂ©ricain ont Ă©tĂ© acceptĂ©es par Google, qui a fourni tout ou une partie des donnĂ©es demandĂ©es, entre janvier et juin 2013. Ce pourcentage s'Ă©lève Ă  49% pour la France.

 Google n'impute cependant pas cette augmentation aux seuls Etats-Unis, et explique qu'elle est Ă©galement liĂ©e Ă  « d'autres gouvernements qui ont fait des demandes comme jamais auparavant ». La firme souligne par ailleurs que le rapport n'est pas complet car il ne compte que les demandes qu'elle est « autorisĂ©e Ă  publier » : une dĂ©claration qui fait allusion Ă  un jugement rendu dans le cadre de la Foreign Intelligence Surveillance Act en septembre dernier, qui empĂŞche l'entreprise de divulguer certaines informations liĂ©es Ă  des requĂŞtes gouvernementales.

 Face Ă  cette situation, Google ne compte pas se laisser faire. « Le gouvernement amĂ©ricain affirme que nous ne pouvons pas partager des informations sur les demandes que nous recevons (le cas Ă©chĂ©ant) en vertu de la Foreign Intelligence Surveillance Act. Mais vous mĂ©ritez de savoir » Ă©crit l'entreprise, qui s'est lancĂ©e dans des dĂ©marches pour avoir le droit d'Ă©toffer son rapport, pour « faire pression pour une plus grande transparence Ă  travers le monde. »

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Vous avez besoin de connaître votre adresse IP ? Voici la démarche à suivre :

Sous Windows 2000 / Windows XP / Windows Vista / Windows Seven :
Clique sur Démarrer, puis sur exécuter et tape précisément : « cmd /k ipconfig /all » (sans les guillemets mais en respectant les espaces).


Sous Windows 95 / Windows 98 :
Clique sur Démarrer, puis sur exécuter et tape précisément : « winipcfg » (sans les guillemets mais en respectant les espaces).


Sous Linux :
Dans une console en tant que root, tape : « ifconfig ».
Dans une console en tant qu'utilisateur, tape : « /sbin/ifconfig » (sans les guillemets).


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La cour du travail de Bruxelles a récemment donné raison à la société louvaniste Option qui avait licencié un de ses cadres pour faute grave parce qu'il avait publié à plusieurs reprises des commentaires négatifs sur la gestion de son entreprise sur sa page Facebook, indiquent samedi L'Echo et De Tijd.

C'est la première fois qu'une haute juridiction belge rend un tel jugement, selon les quotidiens économiques, après une première décision en ce sens du tribunal du travail de Louvain. L'arrêt s'inscrit dans la ligne de la jurisprudence européenne: les juges européens considèrent que ce qu'on écrit sur une page Facebook est public, même si on réserve ces informations à ses amis, commente une juriste.

Toutes les critiques envers un employeur ne peuvent toutefois entraîner un licenciement pour faute grave ; celui-ci ne peut être justifié que lorsque les critiques sont insultantes pour l'employeur ou lorsqu'elles nuisent à sa réputation.

Le juge prendra en compte le contexte, la fonction du travailleur concerné, le climat social dans l'entreprise, la nature dénigrante ou agressive des remarques, etc.

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