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Sujets - davihoff

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Selon une étude américaine, indépendamment de votre nombre d'amis virtuel, l'utilisation de Facebook aurait tendance à vous rendre malheureux.

Les méfaits de Facebook

Une étude des chercheurs de l'Université du Michigan et de Leuven, aurait révélé que plus on utilise le réseau social Facebook, plus on serait malheureux.

Cette étude américaine, rendue publique dans la revue Plos One, a dévoilé que les personnes qui passent trop de temps sur le réseau social Facebook, seraient ceux qui se sentiraient le plus mal dans la vie de tous les jours.

Ces chercheurs ont même confirmé que, ce n'est pas le fait d'être seul qui entraineraient les personnes à faire usage du Facebook, mais c'est bien le contraire : c'est l'utilisation de ce réseau qui serait nocif à notre bien-être.

Les résultats de cette recherche ont été possibles grâce à un système novateur, pouvant leur permettre de faire le lien entre l'état d'esprit d'une personne et son usage de Facebook.
Processus de l'étude

Les chercheurs ont mené cette enquête auprès de 82 étudiants, âgés en moyenne de 19 ans et demi.

Ces étudiants ont reçu pendant 14 jours, un message qui contenaient un lien vers une question quotidienne, à répondre en ligne. L'étude a connu un grand succès grâce aux réponses de ces étudiants. En conclusion, cela rendrait parfois malheureux de voir le "bonheur" réel ou pas, exposé ainsi virtuellement (voyage, promotion...) sur Facebook.

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Suite à un bug dans les systèmes de recommandation d'amis et de téléchargement des archives de Facebook, les adresses e-mail et les numéros de téléphone de 6 millions de membres ont pu être exposé aux yeux de tiers sur le réseau social. Facebook précise ne pas avoir découvert de traces d'une exploitation de cette vulnérabilité, et en attendant un correct, la fonctionnalité récalcitrante a été désactivée en ce jour 25 juin 2013.

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Au rayon des sondages farfelus, mentionnons cette étude réalisée par « Illicit Encounters » : celle-ci nous annonce que les propriétaires d'Audi sont les plus susceptibles de tromper leur conjoint... Tout le contraire des propriétaires de Peugeot ! Petit aperçu, histoire de voir si vous avez des soucis à vous faire...

Du côté des infidèles

Si votre truc à vous, c’est de picorer à gauche et à droite, alors, vous roulez certainement en Audi… Voire en BMW, Mercedes, Volvo ou VW, les quatre marques qui complètent ce podium de voitures préférées par les conducteurs infidèles !

Vous voulez une relation stable ?

Si vous cherchez un partenaire stable, alors soyez rassuré(e) si la personne en question roule en Hyundai, Peugeot, Renault, Rover ou Skoda... Les propriétaires de ces voitures-ci s'avèrent moins sujets aux relations extraconjugales que les autres !

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Software / Windows 8.1 sera proposé gratuitement
« le: mai 31, 2013, 07:58:14 am »
Microsoft publiera bien une version preview de Windows 8.1 fin juin ainsi qu'une version définitive plus tard, et ce gratuitement.

Il y a quatre jours, Microsoft a évoqué sur son blog officiel l'arrivée d'une version preview de Windows Blue. Selon le Directeur financier de Microsoft, Tami Reller, Windows 8.1 - le nom maintenant officiel - sera proposé gratuitement sous la forme d'une mise à jour à l'ensemble des utilisateurs de Windows 8, comme il l'a annoncé durant la conférence JP Morgan's Technology, Media & Telecom.

Reller n'a cependant pas précisé ce que sera le contenu de cette mise à jour importante du dernier système d'exploitation de la firme de Redmond. Il faudra donc patienter encore quelques semaines pour découvrir tout cela, lors de la conférence Build qui se tiendra du 26 au 28 juin prochain.

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Enfin, Microsoft se décide à communiquer sur les chiffres de son dernier système d'exploitation ! Et aussi étonnant que cela puisse paraître, les chiffres sont plutôt bons.

Windows 8 Logo (2)Qu'en est-il de la popularité de Windows 8 ? Eh bien contrairement à tous les propos alarmistes au sujet du dernier système d'exploitation de Microsoft, le bébé ne se porterait pas trop mal et ferait même ses nuits, selon Tami Reller, grande prêtresse du marketing à la Cathédrale de Redmond.

Selon l'active woman, le cap des 100 millions de licences a même été atteint tout récemment ! Précisons tout de même que le chiffre englobe non seulement les versions complètes mais aussi, bien entendu, les mises à jour. En moins de 5 mois, Windows 8 serait donc passé de 60 à 100 millions de versions écoulées et avancerait donc au même rythme que son prédécesseur Windows 7. Mieux, les produits (PC, tablettes) certifiés pour le système se compteraient maintenant au nombre de 2400.

Rassurante, Tami Reller précise aussi maintenir sa confiance envers le marché PC, dont les ventes pourraient enfin reprendre un bon rythme à la rentrée. Et d'évoquer également Windows Blue (8.1), son lot d'innovations et surtout les apports effectués pour répondre aux critiques émises par les utilisateurs. N'espérez toutefois pas en savoir plus, mais on peut parier sur les légers retours en arrière déjà évoqués.

Pour conclure, Reller tient à signaler que pas moins de 700 millions de personnes disposent actuellement d'un compte Microsoft, soulignant ainsi la popularité d'une bonne partie des services de son entreprise. Cela étant dit, à l'heure où nombreux sont les observateurs prêts à enterrer Windows 8 un peu trop vite, rappeler la bonne prestation du système sur le marché se révèle loin, très loin, d'être inutile.

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Sécurité / Google va aider votre patron à vous espionner !
« le: mai 26, 2013, 04:12:38 pm »
Le moteur de recherche Google vient de déposer un brevet dont le but est de détecter des contenus des mails professionnels et d’identifier des phrases problématiques qui vous mettraient en infraction avec le règlement intérieur de votre structure.


Comment ça va marcher ?

Le nouveau brevet de Google baptisé « Policy Violation Checker » ou « vérificateur de violation de règles » est un système qui aurait pour objectif de permettre à votre patron d’espionner le contenu de vos e-mails.

Il serait capable de déceler des déclarations de violations de la loi et du règlement intérieur de votre entreprise. Ainsi, après avoir capturé les informations confidentielles, le système devra les comparer dans une base de données de phrases « à problème » puis estimer leur compatibilité avec la politique de la société.

Dans la foulée, il enverra un message d’alerte à l’employé avant l’envoi du message ainsi qu’à l’employeur. Le système sera même capable de proposer à l'employé des reformulations plus appropriées.

Une atteinte à la vie privée ?

Selon Google, cette innovation permettrait aux entreprises d’éviter les assignations en justice. Il estime que ce brevet s’appliquerait aux corps du mail, aux tableurs, aux documents textes, etc.

Sans nul doute, c’est encore un outil qui menace la vie privée des salariés. Mais pour se défendre, Google indique que son application serait dans « l'intérêt des entreprises de prévenir les violations de leurs règles ou lois avant qu'elles aient lieu ».

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Les spécialistes de la cybersécurité connaissent d'innombrables moyens par lesquels des hackers peuvent semer le chaos en piratant des infrastructures essentielles ou en infiltrant les systèmes informatiques d'entreprises pour dérober des données ou procéder à de l'espionnage industriel, mais c'est ce qu'ils ignorent encore qui les inquiète le plus.

Les experts s'interrogent en effet sur les bombes à retardement qui pourraient infecter-ou même avoir déjà contaminé- certains réseaux informatiques.

Pour Keith Alexander, directeur de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA), il ne fait aucun doute que les cyberattaques vont gagner en ampleur.

"Les attaques à visée de perturbation ou de destruction dirigée contre (les Etats-Unis) vont empirer", a-t-il déclaré lors du sommet sur la cybersécurité organisé par Reuters cette semaine. "Retenez bien ceci: cela va aller en s'aggravant."

Ainsi, le vol de données ou d'argent-comme le piratage international de distributeurs automatiques de billets ayant permis de dérober 45 millions de dollars révélé ce mois-ci- pourraient sembler dérisoires en comparaison d'attaques entraînant par exemple une panne de courant à l'échelle d'une grande ville.

"Le 'connu inconnu', c'est ce qui m'inquiète", a dit la secrétaire à la Sécurité intérieure Janet Napolitano.

"Par exemple, nous ne connaissons pas l'identité de l'ensemble de nos adversaires qui tentent de commettre des crimes ou d'agir sur les réseaux informatiques. Ce que nous connaissons, nous pouvons le gérer. C'est ça le 'connu inconnu'", a-t-elle expliqué.

L'adaptation à l'évolution des attaques représente ainsi une lourde tâche.

"Veiller à ne pas prendre de retard par rapport aux menaces, s'assurer que nos systèmes de défense sont à la hauteur représente probablement l'une des tâches qui monopolise le plus mon attention", a souligné le contre-amiral William Leigher, responsable de la "maîtrise de l'information" pour l'US Navy.

CAFÉTIÈRES ET RÉFRIGÉRATEURS POTENTIELLEMENT DANGEREUX

Le secteur militaire figure parmi les cibles évidentes et ce haut gradé a évoqué plusieurs milliers de tentatives d'intrusion quotidiennes sur les réseaux qu'il supervise.

Jusqu'ici, les Etats-Unis n'ont pas eu à déplorer de cyberattaque destructrice d'ampleur comme celle qui avait affecté plus de 30.000 ordinateurs d'employés du géant pétrolier saoudien Saudi Aramco à l'été 2012. Mais les progrès incessants du potentiel de nuisance informatique de pays comme la Chine, l'Iran et la Russie préoccupent les spécialistes.

"Cette tendance croissante voyant des Etats impliqués dans des cyberattaques conçues pour détruire des pans de l'économie américaine est très, très inquiétante", a relevé Mike Rogers, élu républicain qui préside la commission du Congrès chargée du renseignement.

"La férocité de ces attaques augmente et c'est un aspect que nous ferions mieux de prendre en main", a-t-il ajouté.

Pour Dmitri Alperovitch, co-fondateur de la société Crowdstrike, spécialisée dans la sécurité informatique, l'Iran représente la principale source d'inquiétude, en raison de la montée des tensions au Proche-Orient.

Une autre menace à prendre en compte est celle qui résulte de l'essor des appareils connectés, une évolution qui élargit le champ des cibles potentielles.

"Très bientôt votre cafetière et votre réfrigérateur seront eux aussi des vecteurs d'attaques parce qu'ils seront raccordés à internet", a prévenu Michael Daniel, coordinateur de la politique de cybersécurité à la Maison blanche.

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Le réseau social Facebook a mis en place depuis décembre 2012, une nouvelle fonctionnalité permettant d’envoyer des messages privés aux gens connus.

C’est en effet l’option que lance Mark Zuckerberg sur Facebook pour lutter contre les spams. Plus une personne est célèbre, plus le tarif d’envoi sera onéreux. Ainsi, il faudra dépenser environ 13 euros pour envoyer un message au plongeur britannique Tom Daley et 12 euros pour les actrices moins connues.

Selon les responsables du réseau social, ce procédé n’est pas un moyen de faire des bénéfices, mais une démarche leur permettant de lutter contre les spams. Ainsi, ceux qui refusent de payer doivent savoir que le mail sera renvoyé sans garantie d'être reçu.

100 dollars pour joindre Mark Zuckerberg

Pour l’instant, cette fonctionnalité est en phase de test aux États-Unis sur un petit nombre d’utilisateurs.

Les conditions et tarifications de ce service ne sont pas certaines puisque les prix pourront varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que le nombre de fans. Ainsi, il faudra dépenser 100 dollars pour contacter Mark Zuckerberg, créateur du site.

Depuis un certain temps, Facebook nourrissait l'idée de faire payer ses utilisateurs. Ce n’est donc pas une première fois pour le réseau social, puisque les publications sont déjà rendues payantes auprès de ses amis.

Cela pourra-t-il marcher pour Facebook ? Les utilisateurs vont-ils être enthousiastes face à ce service ?

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Pas vraiment réputé pour son respect de la vie privée de ses membres, Facebook a une fois de plus créé l'inquiétude lors de la présentation de Home, sa nouvelle interface visant à devenir le point d'entrée de tous les smartphones sous Android qui voudront bien l'accueillir. Forcée de rassurer pour convaincre, l'entreprise explique comment tout cela fonctionne.

Selon l'entreprise de Mark Zuckerberg, Home est une nouvelle expérience que les utilisateurs choisissent de leur plein gré, soit en installant l'application, soit en achetant un smartphone sur lequel le logiciel est préinstallé (comme le HTC First). Quant à savoir si une fois Home installée, l'utilisateur sera condamné à l'utiliser, la réponse est non et il sera tout à fait possible de la désactiver à tout moment. De la même manière, ceux qui aimeraient Home mais ne voudraient pas aller jusqu'à en faire l'écran de verrouillage du smartphone pourront tout à fait l'utiliser dans cette optique.

Pour les données collectées, Facebook précise que Home fonctionne exactement comme l'application traditionnelle, analyse les j'aime, commentaires ou les envois de messages. Cependant, Home peut collecter d'autres informations basées sur l'usage telles que la liste des applications que l'utilisateur place dans l'interface de lancement. Ces informations seront conservées 90 jours et sont officiellement destinées à améliorer le service. Pour les smartphones avec Home préinstallé et donc susceptibles d'afficher des notifications système dans l'interface créée par Facebook, des informations sur ces notifications pourront être collectées. Par exemple l'application qui les déclenche, mais en aucun cas le contenu spécifique des notifications.

Home ne pourra pas non plus utiliser des données de localisation autres que celles déjà surveillées par Facebook et il sera toujours possible de les désactiver, comme avec n'importe quelle autre application, dans les paramètres d'Android. Et si l'entreprise recevra bien des données telles que le lancement d'une application de cartographie, Facebook ne recevra pas d'informations sur les directions recherchées ou d'autres activités sollicitées au sein de l'application elle-même.

En clair : Facebook Home se comporterait exactement comme les applications traditionnelles du réseau social sans chercher à fouiller plus loin dans les usages. Dans tous les cas, la politique de gestion des données sera visible lors de l'activation de Home. Pas sûr que cela suffise à rassurer tout le monde mais une explication est toujours la bienvenue !

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Une cyberattaque ciblant une entreprise européenne recensant les spams est l'une des plus importantes jamais vues à ce jour, ont indiqué mercredi des experts en sécurité informatique, l'un d'eux assurant même qu'elle affectait le fonctionnement du réseau internet.

Les pirates ont visé Spamhaus, un groupe basé à Genève qui publie des "listes noires" d'adresses de spams dont se servent les messageries pour filtrer les courriels indésirables. L'attaque a surchargé le réseau mondial, ce qui a vraisemblablement eu des répercussions sur internet, selon Matthew Prince, de la société américaine de sécurité informatique CloudFlare.

Le piratage a commencé il y a une semaine

Ce piratage informatique à grande échelle a commencé la semaine passée, selon Spamhaus, après que le groupe a placé sur sa liste noire un site internet néerlandais, Cyberbunker. Ce dernier s'est plaint d'être présenté par Spamhaus comme un paradis de la cybercriminalité et des spams: "Bien sûr, Spamhaus n'a pas été en mesure de prouver ses allégations", a relevé le site néerlandais.

Cyberbunker à l'origine de l'attaque?

L'origine du piratage n'a pas été identifiée, mais selon la BBC Spamhaus a mis clairement en cause Cyberbunker, qui aurait pu être aidé par des pirates informatiques issus de pays d'Europe de l'est. Le New York Times cite quant à lui Sven Olaf Kamphuis, qui se présente comme le porte-parole des pirates et affirme que Cyberbunker a agi en représailles contre Spamhaus, qui "abuse de son influence". Spamhaus a demandé assistance à la firme CloudFlare pour résoudre ce problème.

L'une des attaques les plus importantes jamais répertoriée

M. Prince a précisé que cette attaque informatique, dans laquelle les sites sont bombardés de demandes pour tenter d'en perturber le fonctionnement, était "l'une des plus importantes jamais répertoriées". Ainsi, ces derniers jours, a-t-il ajouté, "nous avons vu des encombrements, principalement en Europe où la plupart des attaques étaient concentrées, qui ont touché des millions de personnes même s'ils ne surfaient pas sur des sites en rapport avec Spamhaus ou CloudFlare". "Si internet vous semblait un peu apathique ces derniers jours en Europe, c'est probablement une des raisons qui peuvent expliquer ces ralentissements", a ajouté M. Prince, constatant que cette attaque était différente de celles auxquelles il a affaire habituellement.

Commes s'ils utilisaient des "bazookas"

"C'est comme s'ils utilisaient des bazookas et les événements de la semaine passée montrent les dommages que ça peut causer", a-t-il ajouté. "Ce qui est troublant c'est que comparé à ce qu'il est possible de faire, cette attaque est en fait relativement modeste".  Un porte-parole d'une autre firme de sécurité informatique, Akamai, a lui aussi constaté qu'au vu des données disponibles, "l'attaque est vraisemblablement la plus importante dont on a jamais fait état de manière officielle".

Nuisible pour l'ensemble de la toile?

"Cette cyberattaque est en effet très importante", a reconnu Johannes Ullrich, de l'institut de technologie américain SANS, évoquant une attaque "10 fois plus grande que des attaques similaires dans un passé récent". "Mais à ce stade, je ne peux pas assurer que cela affecte internet de manière générale", a-t-il dit à l'AFP.

Spamhaus aurait des ennemis...

Spamhaus, qui a aussi des bureaux à Londres, sillonne internet pour fournir aux grands opérateurs des listes régulièrement actualisées de sites qui envoient des spams. CloudFlare estime que Spamhaus est "directement ou indirectement responsable du filtrage quotidien de 80% des spams". "Même si nous ne savons pas exactement qui se cache derrière cette attaque, Spamhaus s'est fait plein d'ennemis ces dernières années", a encore noté Matthew Prince.

"Nous sommes fiers de la manière dont notre réseau a géré un tel piratage massif et nous travaillons avec nos partenaires pour nous assurer qu'internet dans son ensemble peut faire face à ce type de menace", a-t-il conclu.

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En matière de navigation Web, chacun a ses habitudes. Certains ne jurent plus que par Chrome ou Opera. D'autres restent fidèles à Firefox. Quand l'habitude ne pousse pas à rester sous Internet Explorer. Et vous, vous préférez lequel ?

L'actualité n'est pas forcément très chaude sur le front des navigateurs Internet ces derniers temps, même si on a récemment vu Opera lâcher Presto, son moteur de rendu, pour WebKit, le moteur déjà utilisé par Google Chrome et Apple Safari. Aussi, on a appris que Internet Explorer 11 serait en développement pour Windows Blue alors que IE10 a fait son apparition sous Windows 7, tandis que Firefox 19 intègre enfin un lecteur de PDF. Par ailleurs, Microsoft a été condamné cette semaine à une amende de 561 millions d'euros pour avoir arrêté de diffuser son écran de choix du navigateur à partir de Windows 7 SP1.

Bref, il ne se passe pas forcément quelque chose de majeur chaque semaine sur le front de la navigation Web, mais l'évolution de ces "butineurs" que l'on utilise tous au quotidien est aussi intéressante à suivre que régulière.

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Pouvez-vous vous passer de ce réseau social durant 24h? Pas sûr. D'autant que l'outil séduit désormais toutes les générations. Et les jeunes y consacrent parfois plusieurs heures par jour.

Ce jeudi 28 février 2013, c’était la journée sans Facebook. Pouvez-vous vous passer du réseau social ? Êtes-vous accro? Gil a 29 ans, il travaille dans une société de communication, il utilise activement le web et pourtant, il n’est pas sur Facebook. Ou plutôt, il n’est plus sur Facebook. Après plusieurs mois d’utilisation, il décide de s’en désinscrire et ajoute "Finalement ça ne développe pas des liens sociaux très profonds et que même au contraire, on a le sentiment d’être surveillé et n’importe qui peut trouver des informations sur sa personne et sur ma personne et c’est une chose que je ne suis pas prêt à concéder tout simplement".

En moyenne 5 à 7 heures par mois

Ce réseau social nous désocialiserait-il? Un utilisateur moyen n’y passe que 5 à 7 heures par mois, mais pour les plus actifs ces heures se comptent à la semaine. Parmi les accros au site, on retrouve les étudiants, mais ceux-ci ont parfois des avis bien plus critique qu’il n’y parait. "Je préfère contacter les gens en les appelant ou en envoyant un mail", a expliqué une étudiante. "Je n’ai rien à mettre, je n’ai pas envie de mettre une photo de moi, ce que je fais, 'Je vais aux toilettes'. Ça ne m’intéresse pas", a déclaré une autre étudiante.

"Facebook Addiction Disorder"

Pourtant, avec plus d’un milliard d’utilisateurs, Facebook reste sans conteste le moyen numéro 1 de communication sur internet. A tel point que certains développent une véritable addiction. C’est désormais un cas médical étudié par les psychiatres, on appelle ça le "Facebook Addiction Disorder", c’est un trouble de la dépendance. Six symptômes définissent cette addiction :

    le manque

    l’inquiétude d’y rater quelque chose

    une baisse d’activité réelle

    le développement de relations virtuelles

    entretenir de faux amis

    impliquer toute sa vie dans le site

Il suffit de présenter 2 de ces 6 symptômes pour présenter un risque de dépendance, mais dans la plupart des cas, pour s’en sortir, il suffit… de déconnecter.

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Sécurité / Sécurité : Windows meilleur que Linux ?
« le: février 20, 2013, 06:59:19 am »
Selon un éditeur de solutions de sécurité, Windows serait plus fiable que Linux...

De l'avis de beaucoup de spécialistes, en matière de sécurité informatique, Linux - le noyau Open Source - est infiniment supérieur à Windows, l'OS de Microsoft. Pourtant, ce n'est pas l'avis de Trustwave, un éditeur de solutions de sécurité, partenaire de Microsoft, qui affirme que Windows est plus sécurisé que Linux, notamment car les failles découvertes sont - en moyenne - corrigées deux fois plus vite que celles touchant le kernel Linux.

Ainsi, les utilisateurs de distributions Linux resteraient exposés deux fois plus longtemps aux failles avérées que les utilisateurs de Windows. Problème, l'éventuelle véracité des affirmations de Trustwave est immédiatement à mettre en doute sachant que l'éditeur travaille en partenariat avec Microsoft. Mais ce n'est pas tout, le rapport utilisé par Trustwave pour prêcher pour sa paroisse peut être facilement critiqué. En effet, il ne s'appuie que sur une base de quatre failles de sécurité, qui si elles ont été plus rapidement corrigées sous Windows que sous Linux, n'avaient pas du tout les mêmes conséquences sur le danger encouru par l'utilisateur. Leur portée étant largement moindre sous Linux, et leurs conséquences bien moins graves.

Pas suffisant quoi qu'il arrive pour faire changer d'idée les spécialistes en sécurité qui reconnaissent bien souvent à Linux un aspect sécuritaire renforcé par rapport à Windows.

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Linux / Le noyau Linux 3.8 est disponible en téléchargement
« le: février 20, 2013, 06:54:19 am »

La nouvelle mouture numérotée 3.8 du noyau Linux est maintenant disponible au téléchargement dans sa version finale.

Linux Kernel version 3.8  tout fraichement sortie, la nouvelle version du noyau Linux passe en 3.8 avec un certain nombre d'améliorations, mais aussi de nouveautés. Après tout juste dix semaines de développement, cette nouvelle mouture propose une accélération substantielle des performances graphiques pour les GPU Nvidia et Intel.

Dans le désordre, on note également un meilleur support des configurations NUMA, un nouveau système de fichier F2FS à destination des clés USB ou smartphones par exemple, ou encore quelques ajouts de fonctionnalités réseau comme le support du partage de connexion entre un mobile et l'ordinateur connecté en USB. Côté architecture, le noyau Linux perd la gestion des puces 386 comme cela était prévu, alors que la version 486 continue à être supportée.

Parmi les 11.701 fichiers modifiés du code source, on notera l'ajout du code d'Hyper-V, le système de virtualisation de Microsoft. Toujours dans la section virtualisation, la majeure partie du code de gestion de l'espace utilisateur d'Eric W. Biederman a été intégrée dans cette version 3.8 au nom de code « Unicycling Gorilla ». Ce code permet à un utilisateur qui ne possède pas les droits de super-utilisateur sur le système de créer son propre espace isolé avec ses nouveaux droits. Bien entendu, il ne pourra pas y avoir de débordement puisque cet espace est étanche au système.

Comme à l'accoutumée, cette version 3.8 du noyau arrivera progressivement dans les différentes distributions Linux. Et les plus téméraires peuvent déjà la télécharger et la compiler pour leurs machines.

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Juste un petit rappel pour les distraits et têtes en l'air comme moi, n'oubliez pas de souhaiter une bonne Saint Valentin à votre amoureux ou amoureuse sinon gare aux tirages de têtes et réprimandes de nos chéries !  ;)
Plus sérieusement, c'est aujourd'hui, 14 février 2013 que vous devez déclarer votre flamme à votre dulciné(e) et lui consacrer un beau moment rempli d'amour et de gestes tendres ou de mots doux. C'est le jour pour offrir un cadeau tel qu'un bouquet de fleurs, roses rouges, en particulier, ou une boîte de pralines en forme de coeur pour le côté gourmand sans oublier un bijou, un dessous affriolant ou un parfum pour le côté chic ou coquin. Alors je vous laisse pour la préparation de ce sacro-saint jour V comme Valentin(e).

Bonne saint Valentin à tous et à toutes et surtout à ma femme que j'adore !




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