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Sujets - spin

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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / Le capitaine
« le: février 18, 2013, 07:06:03 am »
Dans une caserne, le capitaine croise une toute nouvelle recrue.
- Comment vous appelez-vous, mon garçon ?

- François, et vous ?

Le capitaine furieux, s’écrie :
- Mon petit gars, je ne sais pas d’oĂą vous venez, mais apprenez qu’ici je suis le capitaine et que je m’appelle  » MON CAPITAINE ». De mĂŞme, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez François Tartenpion, je vous appellerai « Tartenpion », mais pas François. Avez-vous bien compris ?

- Oui, mon capitaine.

- Bon ! Quel est votre nom de famille ?

- Montcherry

- Très bien François, au travail.

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Un homme rentre chez lui et dit Ă  sa  femme qu’il prend une douche et part aussitĂ´t pour un dĂ®ner d’affaires  de dernière minute.

Sa femme a un doute et profite qu’il est sous la  douche pour lui faire les poches. Elle y dĂ©couvre un petit mot  :

« Mon  amour, je t’attends ce soir. Je te cuisinerai ton canard en sauce, Celui  dont tu raffoles tant… »

L’épouse ne se dĂ©courage pas et dĂ©cide de sortir le grand jeu  :
Le dĂ©shabillĂ© sexy, maquillage, parfum envoĂ»tant, le tout  accompagnĂ© d’une  posture plutĂ´t engageante.

Le mari, stupĂ©fait, se jette  immĂ©diatement sur sa femme et  lui fait l’amour avec une passion oubliĂ©e depuis longtemps et renouvelle  mĂŞme… son exploit Ă  deux reprises!

Tout Ă  coup, il se souvient de son mensonge et comprend qu’il  est obligĂ© d’aller Ă  son soi-disant repas d’affaires afin d’éviter de mettre la puce Ă  l’oreille Ă  son  Ă©pouse.

ÉpuisĂ©, il se  rend chez sa maĂ®tresse et lui annonce d’entrĂ©e qu’il est Ă©reintĂ© par une  journĂ©e de travail et qu’il va juste  manger et repartir tĂ´t.

Le repas terminĂ©, il s’endort et la  jeune femme vexĂ©e et douteuse fouille  dans ses poches et dĂ©couvre son petit  mot doux sur lequel l’épouse a ajoutĂ© ceci :

« Je vous envoie le canard, Mais je crains qu’il n’ait plus de sauce. »

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L’intelligent et le stupide font un jeu dont voici les règles :
Chacun d’eux va poser des énigmes à l’autre; si le stupide ne sait pas répondre, il paye 1€ à l’autre; si c’est l’intelligent qui ne sait pas répondre, il paye 100€ parce qu’il est intelligent et c’est plus équitable.

L´intelligent commence :
- Qu’est-ce qui a 4 pattes et qui miaule ?

- Je sais pas, tiens voilà 1€.

- Qu’est-ce qui a 4 pattes et qui aboie ?

- Je sais pas, tiens voilà 1€.

- Allez, dis quelque chose toi aussi, demande l’intelligent au stupide.

- Euh… Bon, qu’est-ce qui a 8 pattes le matin et 4 le soir ?

L’intelligent réfléchit, réfléchit, il réfléchit pendant une heure mais ne trouve pas. Il se trouve contraint de donner sa langue au chat :
- Je ne sais pas. Tiens voilà tes 100 €… Mais alors c’était quoi la réponse ?

- Je sais pas… tiens voilà 1€.

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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / Bien emballées !
« le: décembre 16, 2012, 08:31:32 pm »
Le jour précédant son mariage un gars dispute un match de rugby avec ses potes.

Manque de chance : au cours d’une mêlée ouverte, il se fait marcher sur les parties.

Souffrant le martyre, il demande à quitter le terrain et se fait conduire chez le médecin qui lui dit :
- Je ne peux pas faire grand chose pour vous, sinon vous prescrire un antalgique et vous envelopper le pénis dans de la ouate, coincé dans une attelle.

Le lendemain soir, c’est la nuit de noces et la jolie jeune mariée sort de la salle de bains dans un déshabillé sexy qu’elle soulève jusqu’aux seins en disant :
- Regarde chéri comme ils sont beaux: aucun homme ne les a encore touchés. Je les ai gardés intacts rien que pour toi ce soir !

Alors le rugbyman répond du tac au tac en baissant son pantalon :
- Et ça ma chérie, regarde : encore dans l’emballage !

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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / La pêche
« le: décembre 02, 2012, 03:20:03 pm »
C’était Samedi.

Roger venait de passer toute l’après-midi au bord de la rivière, sous le soleil de plomb, et tout ça pour rentrer bredouille :
Pas un seul poisson n’avait mordu à l’hameçon. Roger qui n’a pas l’habitude de rentrer à la maison sans rien s’arrête au supermarché pour prendre 4 truites.

Il demande au poissonnier:
- Prenez-en quatre grosses, et donnez les moi sans les emballer !

- Et pourquoi ne voulez-vous pas d’emballage ?

- Parce que je veux que ma femme croie que c’est moi qui les ai pêchées .

- Ah d’accord… Mais dans ce cas, je vous suggère de prendre plutôt des gardons .

- Ah bon ? Et pourquoi ?

- Parce que votre femme est passée tout à l’heure, et elle m’a dit de vous conseiller ça si vous passiez par ici : Ce soir elle veut faire de la friture.

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C’est l’histoire d’un vieux couple marié depuis 45 ans. Ils vivent paisiblement dans un coin paumé du centre de la France. L’homme appelle son fils qui vit à Marseille et lui dit:
- Je suis désolé de te gâcher ta journée, mais je dois te dire que ta mère et moi, on a décidé de divorcer, 45 années comme ça c’est assez .

- Mais qu’est-ce que tu racontes papaaaaaaa !

- Nous ne pouvons plus rester ensemble plus longtemps, nous en avons marre l’un de l’autre et je ne veux pas en discuter davantage, je suis à bout, alors appelle ta sœur qui vit à Paris et annonce lui la nouvelle !

Et le vieil homme raccroche. Le fils appelle sa sœur qui explose au téléphone :
- Ce n’est pas possible qu’ils divorcent comme ça, je vais m’occuper de ça !

Elle appelle son père immédiatement, en hurlant dans le téléphone :

- Tu ne vas pas divorcer comme ça, attends jusqu’à ce que j’arrive. Je vais appeler mon frère et nous serons chez toi dès demain matin ! Jusque là, ne fais rien, ne bouge pas, TU M’AS COMPRISE ?
Et elle raccroche.

Le vieil homme raccroche alors et se tourne en souriant vers sa femme :
- C’est OK, ils seront là demain pour Pâques et ce sont eux qui payent leur voyage .

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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / L'ascenceur
« le: novembre 26, 2012, 12:45:51 pm »

Un paysan qui n’a jamais quitté sa ferme va à la ville et descend pour la première fois de sa vie à l’hôtel.

Arrivé dans le hall, il voit une vieille femme, toute ridée, qui entre dans l’ascenseur dont les portes se referment . Ce brave homme, qui ne sait même pas ce qu’est un ascenseur est intrigué.

Deux minutes plus tard, les portes coulissantes s’ouvrent et une jeune femme superbe sort de l’ascenseur.

Alors le paysan s’écrit :
- Crénom ! Si j’avais su qu’ils avaient un engin comme ça, j’aurais amené la Marie !

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Salon de l’auto : Comment reconnaître les nationalités des visiteurs ?

- L’Allemand examine le moteur

- L’Anglais examine les cuirs

- Le Grec examine l’échappement

- L’Italien examine le Klaxon

- Le Portugais examine la peinture

- L’Americain examine la taille

- Le Suisse examine le coffre

- Le Chinois examine tout

- Le Belge examine rien

- Le Français examine la vendeuse

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- Docteur, dit une dame d’une trentaine d’années, en se déshabillant, je ne veux surtout pas risquer d’avoir un enfant. Que me conseillez-vous de faire ?

- A mon avis, la première chose serait de porter des lunettes.

- Et cela m’empêchera d’avoir des enfants ?

- Non, mais cela vous permettra de mieux lire ce qui est inscrit sur les plaques de marbre, dans le couloir. Le gynécologue, c’est l’étage au-dessus. Moi, je suis architecte.

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Dans l’avion Paris/Los Angelès, le commandant de bord s’adresse aux passagers un quart d’heure après le décollage :

- Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, bonjour !
C’est le commandant Dupond qui vous parle !
Bienvenue à bord ! Vous participez au premier vol d’un avion de ligne entièrement piloté par ordinateur. Le décollage s’est passé à merveille.

Nous sommes actuellement, et pour toute la durée du vol, en pilotage automatique.
C’est l’ordinateur qui procèdera à l’atterrissage.
N’ayez aucune inquiétude : s’il y avait un problème, je me remettrais immédiatement aux commandes… immédiatement aux commandes… immédiatement aux commandes…

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Dans la vitrine d’une boutique de lingerie fine, deux petites culottes, la petite Sloggi et la petite Lejaby, sympathisent et deviennent amies.

Mais elles sont vendues et la vie les sépare. Quelques mois plus tard, dans une machine de laverie automatique la petite Sloggi regarde une culotte, qui tourne en même temps qu’elle.

- Vous ne seriez pas la petite Lejaby, qui Ă©tait en vitrine aux Galeries Lafayette ?

- Mais si ! Et vous êtes la petite Sloggy…

Elles s’embrassent et commencent à papoter.

- Moi, dit la petite Lejaby, j’ai une vie formidable. J’ai été achetée par une femme qui sort énormément. Cinéma, théâtre, ballets, concerts, opéra, ça n’arrête pas. Et comme elle s’habille très court, je vois tous les spectacles.
Et vous ?

- Moi aussi, j’ai été achetée par une femme qui sort pratiquement tous les soirs. Mais moi, je n’ai pas vôtre chance : elle ne m’emmène jamais……..

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À l’hôpital, une femme veut se faire opérer car elle trouve que ses lèvres vaginales sont trop grandes. Elle insiste auprès du docteur pour qu’il garde le plus grand secret sur l’opération car elle est embarrassée et ne veut que personne ne le sache.

« Nous sommes tenus au secret professionnel, madame ».

Après l’opération, au réveil, elle trouve trois roses placées avec soin à côté de son lit. Outragée, elle appelle le docteur:

« Je pensais vous avoir demandé de ne pas parler de mon opération à personne! »

« Ne vous inquiétez pas. Je n’ai rien dit à personne. La première rose est de moi. J’ai senti de la compassion pour vous parce que vous avez traversé, tout ceci complètement seule. »

 Â» La deuxième rose est de mon infirmière. Elle m’a aidĂ© Ă  vous opĂ©rer. »

« Et la troisième? »

« Elle provient d’un type dans l’unité des grands brûlés qui vous remercie pour ses nouvelles oreilles! »

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David et François ne se sont pas vus depuis des années. Ils se retrouvent à la terrasse d’un café et discutent de ce qui leur est arrivé depuis leur dernière rencontre. Finalement, François invite David à venir dîner chez lui un de ces soirs:

- J’ai une femme et trois enfants, et ils seront très contents de te voir!

- C’est d’accord. Dis-moi, où est-ce que tu habites alors ?

- Tiens, je t’ai écrit l’adresse sur ce petit bout de papier. Tu verras, il y a plein de places pour se garer. Une fois devant la porte de l’immeuble, ouvre la avec un bon coup de pied, va jusqu’à la porte de l’ascenseur et appuie sur le bouton avec ton coude pour l’appeler.
Une fois dedans, appuie sur le 6ème bouton, toujours avec ton coude. Au 6ème étage, tu verras mon nom sur la deuxième porte à droite. Alors presse le bouton de la sonnette avec ton coude et on t’ouvrira !

- Très bien… Mais dis-moi, qu’est-ce que c’est que cette histoire, d’ouvrir les portes d’un grand coup de pied, et d’appuyer sur les boutons avec le coude ?

- Ben, tu ne vas quand même pas venir les mains vides…

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Comment caresser une femme en parcourant 21 départements Français ?
 
Il faut d’abord s’en faire une Allier, s’assurer qu’elle est Seine et bien en Cher et que Savoie vous séduit.
 
Lorsqu’on sent son Eure venue, on commence par lui caresser le Haut-Rhin puis on descend vers le Bas-Rhin.
 
On contourne alors l’Aisne pour entrer dans la Creuse.
 
La, ça se Corse, on trouve quelque chose de bien Doubs .
 
Sans perdre le Nord, et pour gagner ce Paris, on attend que ça Vienne et si on ne se débrouille pas comme un Manche, on peut entrer en Gard et y rester jusqu’à l’Aube.
 
En Somme, il ne s’agit Pas-de-Calais ni de s’endormir comme un Loire si l’on veut devenir un Hérault de l’amour.

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Humour (rubrique dédiée à Princedudésert) / Un bon conseil
« le: aoűt 02, 2012, 10:15:32 am »
Deux fidèles des bistrots échangent des recettes pour rentrer chez eux dans les meilleures conditions.
 
-  Tu vois, dit le premier, c’est toujours en se dĂ©shabillant qu’on rĂ©veille sa femme. Alors, un bon conseil : tu te dĂ©shabilles en bas de l’escalier.
 -  Complètement ?
 -  Bien sĂ»r ! Tu montes les marches tout doucement et tu te glisses entre les draps.
 -  GĂ©nial ! approuve l’autre.
 
Le lendemain, ils se retrouvent.
 
-  Alors, questionne le premier, tu as suivi mon conseil ?
 -  Oui.
 -  Tu n’as pas l’air d’être enchantĂ© par le rĂ©sultat.
 -  Eh bien, voilĂ . Je m’étais enivrĂ© encore plus que d’habitude. J’arrive au bas de l’escalier. Je prends mes vĂŞtements sur le bras. Je commence Ă  monter les marches. Et, quand je suis arrivĂ© tout en haut, je me suis trouvĂ© sur le quai de la station Barbès-Rochechouart.

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