Eh oui chers amis, les beaux jours sont enfin là … ça sent bon les vacances ! A vous la plage, la mer, le
soleil ou encore la campagne, la forêt, la montagne… C'est bien connu : l'été, l'Europe et en particulier la France est coupée en deux. D'un côté, les juillettistes, de l'autre les aoûtiens. D'autres veulent à tout prix se démarquer et abandonnent le travail en septembre voire en juin pour ceux qui n'ont pas d'enfant ou des jeunes enfants en bas âge qui n'ont pas d'obligation scolaire. Et vous, quand poserez-vous vos congés d'été ?
Quel est le meilleur mois pour partir en vacances l'été ?
Entre un juillettiste et un aoûtien, la réconciliation est impossible. Les premiers se décrivent volontiers comme des "privilégiés éclairés" qui ne partiraient pour rien au monde le mois d'après. Les aoûtiens, de vils fayots calant leurs vacances sur celles du patron, ne pourraient, eux, jamais partir en congés avec des juillettistes. Entre ces ceux clans, comment choisir le meilleur mois pour partir en vacances ? Dans ce débat qui fait rage, chacune des deux parties a de bonnes raisons de partir à telle ou telle date.
> Les juillettistes : du soleil, sans les touristes
Parmi les dix bonnes raisons avancées par les juilletistes, on peut leur concéder qu'effectivement c'est en juillet qu'ont lieu les meilleurs festivals de musique. Futés, ils laissent les autres finir le travail plutôt qu'eux pour retrouver une entreprise vide, et ainsi poursuivre leurs vacances sans se griller.
> Les aoûtiens : ne pas revenir au boulot quand tout le monde est parti
Les aoutiens ne sont pas à court d'arguments quand il s'agit de justifier leurs congés. En vrac, on retrouve dans leurs motivations : un teint halé à la rentrée, des vacances animées, ou encore le privilège d'éviter... les juillettistes ! Parfois, c'est à leurs corps défendant, quand l'entreprise ferme ses portes.
> Partir en juin ou septembre : des salariés qui ont tout compris ?
Pas de petits noms pour les salariés qui quittent l'entreprise en juin ou septembre. Des gens inclassables, ça fait du bien ! Rien que pour cette raison, on pourrait leur donner raison. Mais en plus, leurs arguments sont massues : vacances moins chères, pas de touristes qui sentent la crème solaire et des hôteliers ravis d'accueillir les premiers ou les derniers touristes de la saison. Pour les "juinistes" c'est déjà fin quand au "septembristes", on leur souhaite quand même bien du courage : pour eux les vacances c'est dans plus de deux mois...